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Dès l’origine de la pêche à Terre-Neuve, les énormes flottes de morutiers — pratiquement désarmés, riches d’une cargaison de grande valeur — suscitaient bien des convoitises. Les Corsaires ou les Pirates les traquaient dans l’Atlantique, les Barbaresques guettaient les morutiers, qui gagnaient directement la Méditerranée pour livrer leur pêche, sans compter les « Sauvages », qui s’attaquaient aux établissements à terre sur l’île de Terre-Neuve elle-même. C’est pourquoi, en 1610, les Bourgeois de Saint-Malo demandèrent au roi d’armer en guerre deux navires, pour protéger les équipages attaqués et massacrés. La défense des intérêts nationaux, la protection d’une source majeure de ravitaillement pour le pays, et le souci humanitaire d’assistance sanitaire, amenèrent la France à mettre en place, en 1763, une « station navale ». Depuis lors, le rôle d’escorte et de protection, de surveillance et d’assistance — juridique et médicale — fut dévolu aux navires de la station navale de Terre-Neuve. Des frégates à voile du XVIIIe siècle, jusqu’aux modernes bâtiments de soutien logistique et aux remorqueurs de haute mer. La Ville d’Ys, le Commandant Bourdais ou L’Aventure, furent parmi les plus célèbres. Voici la fabuleuse histoire de la Royale et des Terre-neuvas depuis plus de deux siècles. Dans sa richesse et sa diversité, elle est un irremplaçable témoignage sur une époque aujourd’hui révolue. La richesse de sa documentation et de son illustration en font une œuvre hors du commun.