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La vida rota (1910) es la novela de Corpus Barga que más éxitos ha cosechado. Está protagonizada por una compleja y singular galería de personajes de un pueblo, que el autor llama Benalmena, pero que en la realidad se corresponde con Belalcázar, localidad de Córdoba a la que estuvo muy vinculada la familia de Corpus Barga, y en la que él mismo había pasado muchas temporadas. Será Rafael, el personaje principal, el hilo conductor de la novela, de la que podrá extraerse una visión crítica de las luchas entre los caciques y de las desigualdades sociales de la vida del campo en la España de principios del XX. La obra fue un claro precedente de la descripción que poco tiempo después haría Baroja en El árbol de la ciencia al referirse al modo de vida de los habitantes de Alcolea del Campo. Corpus Barga (Madrid, 1887-Lima, 1975), pseudónimo de Andrés García de la Barga y Gómez de la Serna. A los 19 años comienza a colaborar en diferentes periódicos republicanos y a frecuentar tertulias, donde comparte mesa con escritores como Baroja y Valle-Inclán. En 1904 publica un libro de poemas, Cantares, y en 1906 el libro de relatos Clara Babel. Tras dirigir el semanario Menipo, se instala en París, donde redactará crónicas para periódicos españoles e hispanoamericanos. En 1930 lo veremos en Berlín dirigiendo la agencia del diario La Nación. Regresará a Madrid para participar activamente de la vida política y cultural de la República. En 1939, coincidiendo con el final de la guerra, decide salir de España. En sus primeros días de huida acompañará a Antonio Machado en su trágico final hasta Colliure. Tras pasar una década en Francia, se traslada a Lima, donde dirige la Escuela de Periodismo. Allí redacta los cuatro volúmenes de sus memorias, recogidos bajo el título de Los pasos contados.