
Voici donc comment vivait Marmande au milieu du
XVIIe siècle : ville heureuse, prospère, qui de par sa situation
sur le fleuve échappa à la famine, qui eut la chance
de ne subir qu'une seule fois une épidémie de peste alors
que cette maladie était devenue un fléau permanent pour
bien des communes de l'Agenais, ce depuis de nombreuses
décennies.
Marmande qui, par la sagesse de ses Jurats, put rester
à l'écart des «émotions», des révoltes populaires qui
émaillèrent ce XVIIe siècle, Marmande qui, par l'opportunisme
de ses élites, ne subit que financièrement les effets
de la Fronde.
Mais, bâtit-on l'Histoire avec simplement de l'opportunisme ?
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