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Balzac lui-même n’aurait pas osé imaginer une aussi formidable intrigue : ce jour-là, le 16 mars 1914, Henriette, l’épouse d’un ministre des Finances en exercice, Joseph Caillaux, abat de plusieurs balles de revolver Gaston Calmette, le directeur du « Figaro », le plus puissant des journaux parisiens. Un décor extraordinaire : les derniers feux d’une époque, si brillante qu’elle portera à jamais dans l’histoire le nom de « Belle Époque » ; et dans les coulisses, attendant d’entrer en scène, la Première Guerre Mondiale. De prodigieux acteurs : outre les inculpés et la victime, un Président de la République (Raymond Poincaré) et des hommes politiques de premier plan (Briand, Clemenceau, Barthou, Jaurès ; ces deux derniers, à quelque vingt ans d’intervalle, allant mourir assassinés)… Mais, dira-t-on, l’Affaire Caillaux est bien connue ! Non. Nul ne peut prétendre la connaître s’il n’a pas lu le récit qu’en fait aujourd’hui Paulette Houdyer qui a eu accès aux archives, jusque-là tenues secrètes, de la famille Caillaux. Par sa sensibilité de femme, et son sens du récit, l’auteur de « L’Affaire des sœurs Papin ou le Diable dans la peau » (plus de 100 000 exemplaires en diverses éditions) a réussi la plus passionnante des reconstitutions historiques, et campé, en Joseph Caillaux, un personnage hors du commun, coupable d’être en avance de plus d’un demi-siècle sur son temps. En fait, il n’y eut jamais de procès de Mme Caillaux. On n’a jugé que Joseph Caillaux, et non pas une mais deux fois, puisqu’en 1918 on l’inculpait en Haute Cour d’« intelligence avec l’ennemi », déclenchant ainsi une seconde « Affaire Caillaux », également évoquée, qui ne parvint pas plus que la première à l’abattre.