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Une lettre déchirée, « le bordereau », ramassée en 1894 à l’ambassade d’Allemagne à Paris, a fait condamner pour trahison, sans autre preuve qu’une ressemblance d’écritures, le capitaine Dreyfus de l’état-major de l’armée, déclenchant des torrents de passions antijuives, politicardes et antireligieuses. Plus tard, une autre lettre de même origine a fait soupçonner plutôt le commandant Esterhazy. Ce dernier a été acquitté ; mais le doute avait été jeté sur cette affaire et, après 5 ans de détention en Guyane, Dreyfus était libéré. En 1906, la Cour de Cassation l’a disculpé, attribuant « le bordereau » à Esterhazy, et les historiens sont longtemps restés accrochés à cette thèse malgré les énigmes qu’elle comportait ; finalement, cette thèse elle-même s’est révélée inacceptable. Une explication toute nouvelle, sans traître et sans énigme, a provoqué, depuis dix ans, d’étonnantes révélations qui, toutes, la confortent. Le moment paraît venu de faire le point.