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Au Japon, l’art de la vulve ne passe pas. L’artiste tokyoïte Rokudenashiko a été inculpée le 24 décembre 2014 et incarcérée six mois après sa première arrestation, pour avoir enfreint la loi relative à l’obscénité, en moulant son sexe puis en le scannant en 3D afin de construire un canoë-kayak. Son travail, insolite et non dénué d’humour, vise à casser le tabou de la représentation du sexe féminin dans son pays, qui reste interdite — celui-ci est flouté, pixélisé ou estompé sur les photos, les dessins et dans les films — alors que la pornographie est largement diffusée. De son côté, le pénis est fêté comme il se doit chaque année pendant le festival du phallus de fer de kawasaki. Le récit de cette arrestation, médiatisée dans le monde entier, a permis de mettre en évidence les contradictions d’une société japonaise sclérosée par ses tabous — elle n’est bien sûr pas la seule — concernant plus généralement le statut de la femme.