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Escrito en 2001, el noveno libro de la poeta estadounidense Louise Glück (Nueva York, 1943), Premio Nobel de Literatura 2020, continúa la línea de su anterior libro, Vita Nova (1999). De este modo, su discurso se desnuda de las referencias mitológicas y de la distancia oracular de otros libros para conectar de forma más directa y personal con el cuerpo y la experiencia sensual. Tomando el título del discurso sobre las siete edades del hombre de la comedia de William Shakespeare Como gustéis, la poeta indaga una vez más en su propia vida, recorriéndola desde la infancia a la madurez, a la vez que no deja de preguntarse: «¿Por qué no? ¿Por qué no? ¿Por qué no deberían mis poemas imitar mi vida?». Así, tanto los poemas sobre la infancia compartida con su hermana como los que exploran su vida adulta dan muestra de la lucha de la poeta contra el instinto de trascender lo ordinario para en cambio aceptar «lo parcial, lo cambiante, lo mutable?», es decir, la vida tal y como es, la inmensidad de los detalles domésticos, no menos paradójicos o contradictorios por cercanos o cotidianos: bajo el verano luminoso de los poemas acecha la muerte inevitable de la misma manera que Shakespeare certificaba en su comedia cómo «hora tras hora, maduramos y maduramos / y también, hora tras hora, nos pudrimos y pudrimos».