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“Rien ne réussissait à Londres comme l’insolence, témoin d’Orsay, frère de la duchesse de Guiche : il s’était mis à galoper dans Hyde Park, à sauter les barrières, à jouer, à tutoyer sans façon les dandys. Il avait un succès sans égal et pour y mettre un comble, il finit par enlever une famille, père, mère et enfants.” Qui, autre que Chateaubriand, témoin partial mais génial, aurait pu mieux résumer la “carrière” fulgurante du comte Alfred d’Orsay ? Né en 1801 d’un général d’Empire, Grimod d’Orsay, et d’une fille naturelle du prince de Wurtemberg, Éléonore de Franquemont, Alfred d’Orsay fut pendant trente ans la “coqueluche” de la gentry anglaise. Véritable “roi de Londres”, il y dicte la mode et y fait les réussites littéraires. Sa vie fut un roman et en inspira d’autres. Dans les siens, Disraeli le prend pour modèle et Dickens lui doit ses premiers succès. Furieusement dépensier, il ruine un nabab irlandais, lord Blessington, épouse sa fille et vit sans façon avec sa femme. De retour à Paris en 1848, il meurt quatre ans plus tard au moment où le Prince-Président vient de le nommer directeur des Beaux-Arts. Par son intelligence, son dévouement et son sens aigu de l’amitié, son talent de portraitiste et de sculpteur, Alfred d’Orsay demeure l’un des personnages les plus originaux et les plus attachants de son temps