Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Mais où est donc passé le Chinois ? s’interrogent les habitués du Mon Moulin, petit café parisien du XIVe arrondissement, qu’une coupure de courant dans le quartier rassemble autour d’une lampe et d’une bouteille de vin, entre chien et loup. Du patron à la bonne, du représentant en vins au clochard, chacun livre alors une histoire – vies chaotiques, destins improbables et rêves brisés par la guerre ou la pauvreté, autant de fragments d’une humanité aussi crue que cocasse. Car Melvin Van Peebles restitue la voix populaire des troquets du début des années 1960 dans un style savoureux, un français de la rue métissé de sa propre langue, d’une émouvante poésie.
Ces contes de bistrot au réalisme magique teinté d’humour noir sont illustrés par Roland Topor, qui créera quinze ans plus tard son propre Café Panique.