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Le Droit d’aînesse est l’histoire d’un trio : un écrivain dans la quarantaine, confirmé, un peu alourdi par la vie (le narrateur), un autre de vingt-cinq ans, brillant, joueur et cabotin (Claude), et la petite amie de ce dernier (Catherine), une « grande fille, bien faite et élégante ». C’est l’histoire d’une amitié masculine, où la règle des âges est inversée, le plus jeune des romanciers impressionnant et dominant son aîné. C’est aussi l’histoire d’un amour, où le « droit d’aînesse » est finalement rétabli, respecté. Où sommes-nous ? Dans le Paris des Lettres des années cinquante, quand il y avait encore des « journaux littéraires » et que les maisons d’éditions s’affrontaient dans des tournois de boules, sur le terre-plein de Saint-Sulpice, en plein sixième arrondissement. C’est là où le narrateur rencontre Claude. Quelque temps plus tard, il lui confie son dernier manuscrit. Début d’une affection, mais aussi d’un rapport de force. Par le charme de l’insolence et des certitudes, Claude en impose à son ami plus âge. Le narrateur semble suivre son cadet, être sous sa coupe ; en fait, il l’observe. Bientôt, Claude lui présente Catherine. Qui va glisser d’un homme à l’autre. La phrase et cravatée de Freustié imprime un double rythme au livre. Lent et clinique, puis, quand la jeune femme entre dans la danse, accéléré et fatal. Le trio s’accorde avant d’exploser, le narrateur et Catherine changent de côté. Le Droit d’aînesse renseigne bien sur le mystérieux métier d’écrire. Solitude, découragement, distance, exaltation : Freustié sait de quoi il parle. Ce roman vénéneux traite aussi de l’ironie de l’amour. Pour la petite histoire, signalons qu’il est largement autobiographique. Et qu’il peut constituer une réponse implicite, amicale mais maligne, à L’Illusion comique, un roman de Bernard Frank, publié en 1955...