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Le « problème » autour duquel tourne ce colloque tenu les 13 et 14 janvier 2022 à Paris est celui de la forme que les rapports entre l’Église catholique romaine et l’État ont prise en France : les « libertés de l’Église gallicane », autrement dit, le « gallicanisme » selon le néologisme forgé au cours de la querelle qui renaît à la suite de l’instauration du Concordat de 1801 signé entre Bonaparte et Pie VII. Ce néologisme accompagne la longue genèse de la séparation des Églises ou cultes et de l’État. Il n’achèvera de perdre sa pertinence polémique qu’après la loi de séparation du 9 décembre 1905. Des spécialistes issus de plusieurs disciplines s’interrogent sur les différentes figures qu’a connu, du Moyen Âge au xxe siècle, cette recherche d’une autre voie entre le catholicisme d’État, la monarchie confessionnelle espagnole et l’Église anglicane d’État, pour essayer de comprendre s’il existe ou non une spécificité du modèle d’équilibre français par rapport à d’autres manières nationales de régler les rapports entre l’Église catholique romaine et l’État. Sous la direction de trois universitaires en histoire, Catherine Maire, Bernard Bourdin op, et Patrice Guéniffey, s’expriment plusieurs disciplines d’expertises avec successivement : Yves Sassier, Jean-Paul Durand op, Frédéric Gabriel, Blandine Wagner, Catherine Maire, Gérard Pelletier, Bernard Bourdin op, Brigitte Basdevant-Gaudemet, Marina Caffiero, Patrice Guéniffey, Julien Barroche."