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Les héros de Jean Basile, dont on n’a pas oublié La Jument des Mongols, sont des êtres poétiques, qu’anime une certaine frénésie de vivre. On les retrouve ici, essayant de prolonger « un peu de leur jeunesse qui part ». Tandis que son ami Jérémie, son « grand Meaulnes », se marie, et quitte le petit groupe qu’ils formaient tous trois, avec la fantasque Judith, le narrateur poursuit son existence préservée. Légèrement accroché entre ciel et terre, comme un ludion dans son bocal, il joue le Grand Khan, « prince de sa steppe et de sa chambre ». Au petit royaume de l’amitié, il mène la comédie de la désinvolture, du désespoir et des bonheurs fous, tout en écrivant le livre qu’il porte en lui. Brillant et tendre, ce récit est une promenade, une randonnée et une éducation sentimentale ; les années d’apprentissage d’un jeune homme menacé de maturité. Dans Montréal aux couleurs du souvenir, Jean Basile nous conduit à la poursuite de moments heureux ou doux-amers, qui ont le charme du temps retrouvé, l’insolence du talent, l’élégance d’un style chatoyant et riche. Moqueur et grave aussi, sans insistance, il réussit à traduire, à ressusciter l’état de grâce des vingt ans, dans sa fraîcheur fragile, il s’impose désormais, singulier, émouvant, d’une attachante originalité, comme l’un des meilleurs romanciers de l’actuelle renaissance canadienne.