
Le Jardin de M.
Dans Le jardin de M., Marcella Durand réinvente l'espace, celui de la ville, celui du langage et du poème. Lire les poèmes de Marcella Durand, c'est, à l'heure d'une cartographie totale du monde, revenir à une appréhension élémentaire de l'espace et du langage. Dans les poèmes de Rayons de l'ombre, cela passe par l'utilisation surprenante, en langue anglaise, de l'alexandrin, comme si la poète américaine, de père français, avait voulu faire rentrer sa langue dans la mesure française, comme pour la faire tenir, l'empêcher de fuir.
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