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Venise ! Combien d’écrivains, d’artistes, de penseurs, sont allés se confronter à elle, se laisser absorber par elle, prendre conscience d’eux-mêmes à travers elle ! Ce que Jules Vuillemin rapporte de son séjour vénitien diffère pourtant de tout ce que nous avons lu à propos de places et de monuments fameux, des ruelles et des canaux, de la Basilique Saint Marc, de la Lagune, des toiles de Tintoret et de Carpaccio. Venise n’est pas seulement une ville et un spectacle. C’est le lieu privilégié qui, en faisant lever un monde de sensations et d’impressions jamais connues, invite le visiteur à faire silence et à se recueillir, à se voir lui-même tel enfin que l’existence l’a fait. Au fil des jours, des soirées et des nuits, l’auteur, en même temps qu’il prend possession de la ville la plus singulière, découvre sa propre singularité, revit des souvenirs enfouis, se livre à des réflexions qui, à propos de la mort, de l’amour, du bonheur, l’obligent à reconsidérer les fondements de sa vie, la vision qu’il a des autres et du monde, tracent la voie d’une « sagesse ». Confession, essai, poème où la pensée, parfois aphoristique, prend le relais du souvenir ou de la sensation, le Miroir de Venise, d’une prose dense et tendue, allie la profondeur à une rare puissance d’évocation.