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Jacqueline Barde disait d’elle : ses romans sont toujours extraordinairement sensuels. Cette longue fille blonde, aux allures de pouliche alezane, connut — dès l’entrée — un succès fracassant avec “Les pigeons meurent en dormant” et “Les félins de cuir”, devenus des classiques de l’érotisme. “Je défie de poser un Thérèse Massart avant de l’avoir terminé”. (Le dépositaire de France). Jacques Bouzerand, lui, affirme : Elle se permet toutes les audaces, sauf une : la vulgarité. “Tout peut être dit de façon élégante, affirme-t-elle. Et elle le dit !” (Le Point). “Le mors aux dents”, c’est 30 jours de la vie d’une femme - 30 jours mystérieux, où ses trois passions se mêlent : les hommes, la mer, les chevaux ! Un soir, l’amour lui est arraché. Comment, par qui, pourquoi ? Le bruit des vagues, le hennissement des étalons, les soupirs et les plaintes des enlacements vous emporteront à bride abattue par-dessus les obstacles, dans une poursuite passionnée de l’amour physique, jusqu’au delà des barrières dressées entre la vie et la mort. Chatte et cavale, elle rue et botte qui cherche à la dominer - prend : “Le mords aux dents”, piquant droit à son but : l’amour total, sans loi ni frontières.