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Avant de devenir un film, interprété par Horst Bucholz et Muriel Catala, Le sauveur était un récit, que Michel Mardore avait jalousement conservé inédit. Ce texte est le reflet exact du film, dialogue compris, et sa forme littéraire aide à éclaircir certaines énigmes du scénario. Le sauveur s’intègre à un triptyque, où se retrouve le goût de Mardore pour les situations extraordinaires, les rebondissements imprévus, le mystère, la poésie de l’amour et de la violence, bref tout un « romanesque », un plaisir de la lecture, dont nous prive trop souvent la littérature contemporaine. « Mon idéal serait de raconter ce que plus personne n’ose écrire, dit Michel Mardore, et ensuite de filmer ce que personne n’ose montrer. »