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Le IIIe Reich a réquisitionné, par la loi française du Service du Travail Obligatoire et sous la contrainte, six cent mille jeunes des classes 1940, 1941 et 1942, pour les envoyer dans les camps de travail forcé en Allemagne. Ces jeunes se sont trouvés mêlés, dans les mines et les usines nazies, aux déportés de l’Europe entière : Russes, Polonais, Tchèques, Belges, Italiens... Ils n’étaient protégés ni par la convention de Genève ni par la Croix-Rouge, mais soumis aux lois allemandes. Tout manquement au travail était puni de prison ou de camp disciplinaire, les terribles AEL (Arbeitzerziehungslager). Plus de quarante mille d’entre eux sont morts, victimes de mauvais traitements, des bombardements, ou même sous la torture, comme ceux de Dortmund, massacrés le Vendredi saint 1945. Jean-Louis Quereillahc, réquisitionné lui aussi, a dû affronter les souffrances et les privations. Il nous livre aujourd’hui son témoignage émouvant, dans ce récit nécessaire au devoir de mémoire. Depuis leur libération, « les STO » ont défendu leur honneur et leur légitime place dans le monde des anciens combattants et victimes de guerre, qu’ils viennent enfin de rejoindre par un décret-loi voté en 2008 avec le titre de « victime du travail forcé en Allemagne nazie ». Le procès des criminels de guerre de Nuremberg a condamné à mort le gauleiter Sauckel, qui avait déporté en Allemagne six millions de jeunes pour « la plus grande entreprise d’esclavage des temps modernes »...