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200 Gedichte über das Sterben - das mag nach schwer verdaulicher Kost klingen, und doch gönnt uns dieses Buch eine unerwartete Heiterkeit. Mit filigranem Wortwitz und spitzbübischer Weisheit platziert Frank Klötgen seine Verse überall, wo der Tod zuschlägt oder seine Nähe ankündigt. Morde und Unfälle, Schlachtfelder und -höfe, Trauerarbeit und Raubtierzähne, Altersleiden, Überlebenskämpfe und Nachruhmsorge - das Memento mori ist allgegenwärtig. Und weil man Verlusten auch ohne unmittelbare Lebensgefahr bitterlich nachtrauern kann, erhält auch die enttäuschte Liebe eine Rubrik. Gestorben wird immer, irgendwie. Mal leisten schwarzhumorige Kalauer Sterbehilfe, mal zwingt uns tiefsinnige Melancholie zum Innehalten - ob als knackiger Zweizeiler oder üppige Slam-Ballade. Dieses Buch feiert den Abschied und lädt ein, die Gläser zu erheben, bevor sie zerbrochen sind. Und wenn man auf der letzten Seite angelangt ist, wird man verdutzt nachzählen und seufzen: »Ach, das war es schon?« Ganz so wie im richtigen Leben.