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Kurt Marti schreibt über Verstorbene ohne Floskeln und ohne Phrasen. Brillante Texte, die gegen den Tod und billigen Trost protestieren und das Leben feiern. Überraschend, politisch und poetisch.»Nein, er war nicht tüchtig, nein, er war auch nicht fleißig. Er arbeitete nur, sofern es nicht anders ging. Im Sommer lag er gut geölt im Schwimmbad und für den Winter suchte er sich eine Beschäftigung und eine Freundin, denn er war über die Feiertage nicht gern allein. Welche Wohltat in einer Welt, die vor Tüchtigkeit aus den Fugen gerät: Ein Mann, der sich gute Tage zu machen wusste, bevor der letzte Tag für ihn kam.«So schreibt Kurt Marti und bricht mit jeglichen Floskeln und Konventionen in der Rede über Verstorbene. Er benennt, was alle denken, aber sich niemand zu sagen traut. Anstelle von steifen Gepflogenheiten macht Marti sich stark für das Leben, für Menschen und ihre Biografien, ihre Schwächen, ihre Sorgen, ihre Stärken und Freuden. Er spricht von der Not eines dicken Mädchens und wie traurig es ist, nicht unbedingt, dass dieser Mann gestorben sei, sondern, dass er nie gewagt hatte, glücklich zu sein. Er schreibt von der Frau, die ein Leben lang gehorcht statt gelebt hatte, und davon, wie bitter es ist, sterblich zu sein. Martis brillante Texte protestieren gegen Tod und gegen billigen Trost und feiern das Leben -und den Gott der Lebendigen.