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Aujourd'hui peu connue du grand public, l'embuscade de Palestro a pourtant bouleversé l'opinion publique, deux ans après le début des " événements " en Algérie. Aux frontières de la micro-histoire, de l'histoire de la mémoire et de l'histoire coloniale, ce portrait exemplaire de Raphaëlle Branche retrace les faits en s'appuyant sur les mémoires françaises et algériennes. Palestro, le 18 mai 1956 : vingt et un militaires français tombent dans une embuscade. Un seul d'entre eux survit, les corps des autres sont retrouvés mutilés. Quelques mois après que le contingent a été rappelé pour lutter contre l'insurrection qui se propageait en Algérie, la nouvelle fera l'effet d'une bombe dans l'opinion française. " Palestro " deviendra vite synonyme de la cruauté de cette guerre qui ne disait pas son nom. Pourquoi, alors qu'il y eut d'autres embuscades meurtrières, a-t-on plus particulièrement retenu celle-ci ? Pour comprendre les raisons de cette persistance dans l'imaginaire national français, Raphaëlle Branche a mené une longue enquête historique, en particulier en Algérie. Car il fallait aussi comprendre ce qu'il en était là-bas : cette action des maquisards de l'Armée de libération nationale avait-elle également marqué les mémoires ? En s'attachant au récit détaillé du drame de Palestro, ce livre de " micro-histoire " permet ainsi d'aller voir plus loin et d'interroger un passé plus ancien, là où se sont noués les liens coloniaux. Sous les pas des combattants de 1956, en effet, d'autres Français et d'autres Algériens avaient laissé leurs traces. Ce livre est aussi leur histoire. Dans sa postface inédite, où elle revient sur la réception de ce livre, l'auteure témoigne que l'enquête historique continue toujours.