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À la veille de la quarantaine, Laurent se donne, à Venise, trois jours de l’été 1972 pour sortir de ses prisons. Elles sont nombreuses ; les parents : murés dans leur amour ; Elfried, une Allemande : à dix-huit ans — il en avait onze — elle a eu un geste qui, croit-elle, les a damnés ; Irène, sa sœur : proie puis victime d’une trouble passion ; Françoise, directrice d’un théâtre forain : partagée entre la saveur de la sensualité et le goût de la mort ; Florence, une jeune divorcée : elle a usé sa sérénité contre les phantasmes de Laurent. A Venise, en ignorant tout de ses prisons, Julie tente de l’en libérer. Mais les « signes » se multiplient, mais une touriste qui pourrait être Elfried inquiète autant Julie que Laurent, mais les issues se révèlent culs-de-sac. Il s’obstine pourtant à quêter l’humble et merveilleux contentement de soi que sa mère appelle « l’enfance de l’art ». Le trouvera-t-il à Venise où « dès juillet, et jusqu’à septembre, l’air qui danse à midi sur la place Saint-Marc diffuse des effluves germaniques » ? A Venise où toute réalité devient théâtre.