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Mai 36 : les vaines menaces des Ligues avaient provoqué une puissante réaction et le Front Populaire l'emporte aux élections. Mais ses éléments les plus dynamiques ne se satisfont point d'avoir donné à la Chambre une majorité de gauche. Des grèves éclatent, font tache d'huile. Fait nouveau, les usines sont occupées et la police n'ose les faire évacuer. Suffira-t-il, pour rétablir la paix sociale, de négocier ? Léon Blum s'y emploie, réunit patrons et syndicats : ce sont les accords Matignon. Les grèves s'apaisent, puis reprennent. L'insurrection menace. Les Ligues mobilisent. Au bord de la guerre civile, le gouvernement décide que l'ordre sera maintenu envers et contre tous. C'est compter sans ceux qui ont senti passer le vent de la défaite et du massacre. Quelques-uns des jeunes gens que le lecteur a appris à connaître au long des volumes précédents, ne se résignent point à tenir leur salut d'un chef socialiste. A l'exemple des révolutionnaires, ils rejettent la morale bourgeoise. Désormais, ils rendront COUP POUR COUP. A la calomnie répond la calomnie, — et le Ministre de l'Intérieur se suicide. A l'assassinat réplique le meurtre, — et un agent du Komintern est abattu. La France se couvre de groupes clandestins d'auto-défense, que l'Organisation tente de fédérer, sans qu'on sache bien qui la contrôle. Et, entre deux expéditions, ils retrouvent leurs camarades, devenus parfois des adversaires. Ils discutent, ils rêvent, ils aiment : ils sont jeunes... C'est moins la police, brisant quelques mailles du réseau, qui voue l'Organisation à sa perte, que la disparition de la menace ennemie. Point n'était besoin d'armes pour abattre le Front Populaire : les discordes, la fuite des capitaux et la menace allemande ont suffi. Les radicaux reprennent le pouvoir...