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« Les enragées de Cornebourg » est le premier véritable roman de Roger Rabiniaux. On y trouvera en effet une intrigue suivie, une histoire complète. Et quelle histoire ! À Cornebourg, gros bourg peuplé de commerçants, de paysans, de retraités, éclate soudain la guerre des sexes. C’est une Vénus cantonale, terriblement attachée à sa proie, Améla Jambechiche, qui est à l’origine de ce conflit. Les Cornebourgeoises voulant châtier cette sirène — coupable d’avoir éloigné de leur devoir de nombreux mâles respectables — s’acharnent sur son mari, le pauvre Léon Jambechiche, qu’elles laissent pantelant au seuil de son auberge après l’avoir roué de coups. Jambechiche va se défendre. Les Cornebourgeoises seront condamnées et prendront leur revanche au cours d’une guerre intestine, qui va voir successivement les hommes épuisés sous les caresses, avant d’être privés d’amour et abandonnés dans leur maison sans femme. Un jour, enfin, les « Justicières » conquerront le Conseil municipal, la Mairie et feront peser sur les hommes une insupportable dictature. Comme on voit, Cornebourg, la France, et le monde sont bien mal partis. Heureusement, Señor Bacchus, sorte de Pantagruel up to date, mâtiné de Don Juan, surgira à temps pour redresser la situation ; il y sera puissamment aidé par le déchaînement de fureur érotique, que connaîtront Cornebourg et Crouzeval à la suite d’une sournoise vengeance de Jambechiche. Telle est l’histoire, hautement morale, des « Enragées de Cornebourg ». S’agit-il d’un roman paysan, d’un pamphlet antiféministe, d’une chronique romancée ? Sans doute d’un peu tout cela, mais il s’agit surtout d’un livre écrit avec une verve entraînante, et où le burlesque n’est jamais très éloigné du lyrisme, d’un livre rempli de trouvailles charmantes ou pittoresques, et d’une véritable ivresse verbale.