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« En 1944, vous étiez des enfants ou des adolescents. Vous avez vécu l’arrivée des Américains à Liège. Vos souvenirs se rapportent à la grande Histoire. Racontez-les… »
En 2004, Ralph Demy lance cet appel aux lecteurs d’un journal de Liège. Son incitation aux témoignages rencontre un énorme écho. Les lecteurs se pressent à la rédaction pour raconter leurs souvenirs sacrés. Et Ralph les recueille avec ferveur… Extraordinaires souvenirs d’enfance !... L’apparition du premier Américain, du premier blindé arborant l’étoile blanche… L’immense euphorie dans les rues, à laquelle succédera bientôt la terreur, avec l’hiver des bombes volantes, le sinistre « ronron » des V1 au-dessus de la Cité Ardente, et les très inquiétantes nouvelles venues d’Ardenne… Un jour, une jolie rousse de seize ans, Jeanne Février, passe à la rédaction. Elle demande à Ralph de publier un portrait du capitaine Jim Brady, un pilote américain dont l’appareil s’est abattu dans les Hautes Fagnes en 1944. La Résistance avait alors secouru l’aviateur et l’avait aidé à rejoindre l’Angleterre. à Liège, ses amis résistants ont longtemps tenté de retrouver Jim. Ralph et la petite Jeanne se lancent sur la piste de cet aviateur insaisissable, reconstituent le puzzle de son trajet clandestin à travers la Belgique et la France. Alors le rythme du récit s’accélère, le roman de Bernard Gheur, nourri de faits vrais, s’envole vers la fiction, vers le domaine des sentiments, et des cœurs épris. Les étoiles de l’aube comblera les passionnés d’histoire de la guerre. Il enchantera également les amateurs d’intrigues magistralement menées, riches de suspense et de surprises.
Un roman historique haletant sur la Seconde Guerre mondiale, récompensé par le prix Marcel Thiry 2012 et le Prix des Lycéens 2013.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
- "Un roman émouvant et pudique sur la Libération de Liège en 1944, nourri de nombreux témoignages, ces petites histoires qui concourent à créer l’Histoire." (Eric Brucher, Antipode)
EXTRAIT
"Qu'en dites-vous, monsieur ? N'est-ce pas beau ?" Joseph a des cheveux blancs et hirsutes. Il habite cette région où les Belges ont l'accent allemand. Pendant quarante ans, il a été jardinier au cimetière militaire américain d'Henri-Chapelle. Le vieil homme aime revenir dans ce lieu paisible. Il me parle des charmes, des ifs, des bouleaux et des saules pleureurs qui ont grandi ici. Je ne pouvais avoir meilleur guide. Moi, pour simplifier les choses, je lui ai dit que j'étais journaliste. Nous sommes en haut des marches conduisant aux sépultures. Des milliers de croix de marbre blanc sont déployées sous nos yeux. Les rangées de stèles se succèdent sur une immense étendue de gazon, qui descend en pente douce. Le ciel de septembre est splendide. Et, entre les notes d'un carillon, le chant des oiseaux peuple le silence.