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"Rabelais nommait Parrhésiens les vrais Parisiens, ceux dotés de la forte parole et du courage de tout jeter à la face d’autrui. Il fut un temps, pas si lointain, où les habitants de Paris ne parlaient pas le français actuel, si exsangue et dilué, mais cette langue de forte sève célébrée par Rabelais. Ces spécimens d’ancienne roche avaient vu le jour dans les quartiers populaires et grandi sur les berges de Seine. D’année en année, la hausse des loyers les avait repoussés aux banlieues limitrophes, boutés hors des beaux immeubles où s’étaient installés de nouveaux venus, riches en capitaux, mais de pauvre langage. Un jour, par hasard, alors que je pensais ces Parrhésiens disparus à jamais et leur langue évanouie pour toujours, j’avais découvert, dans une ruelle de Montparnasse, un repaire de grandes gueules et de crache-feu où les vieux bisons revenaient à la nuit tombée, tels les zombies sortis de terre des films de John Carpenter."