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En considérant le décalage qui s’accroît chaque jour davantage entre l’augmentation du bien-être matériel et la persistance d’une anxiété humaine, qui a plutôt tendance à revêtir de nouvelles formes d’acuité, l’auteur se demande si, à un moment quelconque de sa trajectoire, l’humanité n’a pas commis une erreur d’orientation. Il attribue notamment la possibilité d’un tel fourvoiement au fait que les hommes ont été, depuis longtemps, trop « anthropocentristes », trop « déductifs », trop « expérimentaux », et qu’ils n’ont pour ainsi dire jamais entrepris de « se penser » par rapport à l’univers. En particulier, il s’étonne qu’ils ne semblent pas s’être préoccupés de l’influence directe que peut avoir la nature sur l’esprit. Cette ouverture le conduit à déceler que cette action s’exerce sur l’inconscience, et il montre par quelles approches conjuguées, elle peut se développer. Chemin faisant, il est amené à préciser la véritable raison d’être de l’inconscience, et l’importance de son rôle dans l’activité mentale. Non sans noter au passage le rôle des transmissions héréditaires par la voie inconsciente, à la suite d’une réflexion prolongée sur les origines de certaines vocations hautaines : la poésie, l’art, la foi. Il estime aussi que la conscience s’est sans doute trop développée au détriment de l’inconscience, ce qui pourrait justifier un déséquilibre de l’esprit et une insatisfaction de l’âme. Et, pour assurer à la fois un meilleur équilibre de ces deux fonctions, et pour permettre aux personnalités de se révéler et de s’épanouir, il conclut en suggérant de revenir à une véritable imprégnation de tous les jeunes êtres dans la nature, car la prime enfance et la jeunesse sont les âges tendres où leur inconscience est toute perméabilité à l’univers.