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« Le baron de Gascq, président à mortier du Parlement de Guyenne, négligeait un peu son hôtel bordelais, sa baronnie de Portets, et les affaires du palais de l'Ombrière, pour l'intérêt qu'il prenait à Paris auprès des beaux esprits. Il avait le goût ingénu de la fête et, passionnément, celui du bonheur. Un sentiment inné et farouche le poussait à satisfaire toutes les pentes de ses plaisirs. Il ne négligeait rien qui puisse lui apporter ce supplément de volupté, qu'il trouvait à asservir les êtres et les choses. » Quel regard le président Antoine de Gascq jette-t-il sur sa vie, ses amours, et sa province, dans ce milieu du XVIIIe siècle ? Quelles conversations — enchantées ou désenchantées — entame-t-il avec ses amis Montesquieu, Rousseau, Voltaire ou Richelieu, alors qu'ils sentent monter autour d'eux, à travers le négociant Hermann Wallenberg, déjà héros de « Si Dieu ne manque », les rumeurs de la Révolution française ? Des glacis du Château-Trompette aux terrasses de Mongenan, de la bataille de Fontenoy aux confidences de l'Œil-De-Bœuf, « Les derniers feux du plaisir » vous font entrer dans l'intimité du XVIIIe siècle. Ses philosophes, ses salons, ses pratiques, ses modes, ses excès, tout est révélé sur cette époque ambiguë et cruelle, jusqu'aux mécanismes économiques conduisant, immanquablement, à la Révolution française. Avec « Les derniers feux du plaisir », Florence Mothe écrit, enfin, l'histoire au présent. Avec une liberté, une élégance et un éclat, dignes de l'époque qu'elle met en scène.