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Des poèmes comme autant de labyrinthes intérieurs dont le poète tente de s’évader Après Jusqu’au bout du souffle, son sixième recueil, Christian Roy pensait avoir mis le point final à son œuvre poétique; mais L’étoffe des braises s’est imposé comme une sorte de renaissance et une mise à nu où le poète, après en avoir brulé tous les artifices, révèle l’absurdité d’une existence pétrie de contradictions. Dans une cadence poétique tantôt grave, tantôt légère, il aborde la solitude et la maladresse inhérentes à la marginalité de celui qui constate sa part de responsabilité dans les malheurs du monde. En résulte une œuvre touchante et pleine d’humanité.