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Avec plus de mille taxes, cotisations, redevances et prélèvements de tous ordres, la France est un pays qui a plus d’impôts que de fromages. Et quels impôts ! - Les plus complexes : le Code général des impôts compte plus de quatre mille articles. Au rythme de quinze minutes par article, il faut six mois pour le lire. Des années pour le comprendre. Et le reste de la vie pour s’en remettre. - Les plus lourds : plus de deux mille milliards de francs de prélèvements obligatoires en 1985. Les plus forts taux marginaux d’imposition du monde. Fiscalité, parafiscalité et néo-fiscalité, le contribuable français est asphyxié. Son économie anémiée. Sa maladie répertoriée. C’est le SIDA fiscal : Syndrome de l’impôt dépresseur et asphyxiant. - Les plus inégaux : 1752 F d’impôts pour le contribuable de Cannes. Un festival ! 559 F pour celui de Reims, et 303 F à Perpignan. - Et pour finir, ils sont souvent presque illégaux : avec 900 milliards de francs de cotisations sociales prélevées, sans aucun contrôle du Parlement, la fiscalité est un western où un impôt sur deux est hors la loi. Comment en est-on arrivé là ? Par bien des voies. Notamment celle de l’intoxication diffusée par l’E.N.A. Shootés à l’herbe keynésienne, les hauts fonctionnaires ont fait de la France une réserve fiscale pour safaris interventionnistes. Des libéraux aux socialistes, sans oublier les catholiques sociaux, pendant quarante ans, tout ce que la France compte de dirigeants a été dirigiste. L’œcuménisme sur le national-fiscalisme, Vatican II du social-étatisme. De Marchais à J. Lecanuet ils ont tous été frères de lait. Que faire pour en sortir ? Exiger l’application de ses imprescriptibles droits. Le droit de décider : parce que le référendum fiscal est inscrit noir sur blanc dans les textes constitutionnels, depuis deux cents ans. Le droit de refuser : parce que face au gâchis des finances de l’État, frauder devient souvent un droit, celui de résister à l’oppression et à la spoliation. Le droit de liquider : l’impôt sur le revenu, budgétairement inutile, économiquement désastreux, techniquement condamnable et psychologiquement rejeté, est à supprimer. Ni plus ni moins !