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D’où sont nées ces lettres à Michel et à Jean-Pierre que publie Jean Onimus ? Comme bien souvent, entre ce père et ses fils s’est établi, un jour, le silence, cet épais silence qui sépare, plus radicalement qu’une frontière, les adultes et les adolescents, les contraignant à vivre en une réciproque ignorance. Et lorsque parler est devenu impossible, il reste une seule issue : écrire. Jean Onimus a choisi la lettre pour dire à ses fils ce qu’il croyait de son devoir de leur dire : la lettre s’accommode à merveille de la confidence, elle supporte cette familiarité, cet abandon, ce ton à la fois fervent et discret qui conviennent à des échanges d’âmes. André Ravier écrit dans sa préface : « Ces lettres sont d’un très grand charme littéraire. On y retrouve cette limpidité, cette transparence que confère Jean Onimus à tout ce qu’il écrit. Il s’y ajoute encore un je ne sais quoi d’abandonné, j’allais dire de jeté, qui donne à ces confidences la fraîcheur des jaillissements vierges. Quel bon sens ! Quel équilibre ! Quelle expérience de l’âme adolescente ! Dès lors que nous ouvrions un livre de Jean Onimus, ces joies nous étaient promises, nous étaient dues. »