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Dans “l’homme à chagrin”, du coup de foudre au coup de grâce nous sommes projetés dans le paysage de la passion. Ici Racine rejoint Mauriac. De nombreuses pages évoquant les pins blessés des Landes et le vol lourd des palombes sous le ciel bas du Médoc. C’est le huis clos d’un amour voué à la destruction, la ronde infernale du désir. Pauvres amants enchaînés, rivés l’un à l’autre et condamnés à la stérilité théâtrale des mauvaises comédies jouées sans y croire. C’est l’histoire éternelle et banale de l’impasse qui se referme sur eux. Ils croient désespérément que l’amour est refuge, île fortunée, enclos préservé des clameurs du monde alors que réduit à lui-même, fondé sur la faiblesse et la peur de vivre il devient vite cette prison où deux galériens s’épuisent autour d’une noria chimérique sans que jamais la source jaillisse. Avec son troisième roman Marie-Claude Sandrin approfondit l’exploration de ce territoire où n’ayant pas su renoncer à leurs prérogatives, deux amants égarés miment une pièce dérisoire parce que, autrefois, les adultes leur ont volé la mémoire d’une enfance heureuse.