L'inconnue de jaisalmer
« Je me sens loin de chez moi, madame Pinelli. Voyez-vous, j'ai voulu m'enfuir. Fuir ceux que je connaissais, fuir ce qui m'appartenait, fuir le Bruno Sanzio de tous les jours. Cette vie-là m'était devenue insupportable. Aujourd'hui, je me rends compte que ce n'était peut-être pas la bonne tactique. On ne se libère pas si facilement de la monotonie de soi-même. »