
Août 1944 - La Libération que connaissent Rennes puis Nantes se
fera attendre encore neuf mois dans ce qui devient alors la «Poche
de Saint-Nazaire».
À La Baule, dans l'atmosphère si particulière du dernier été de
l'Occupation, se noue un drame privé terrible, d'une puissance digne
de la tragédie grecque.
Au centre de cet effroyable destin, deux femmes que tout devrait
opposer et qui, ensemble, dans une complicité qui n'a pas besoin de
mots, vont atteindre au sublime...
D'ailleurs, le commissaire Georges Fédrun en convient lui-même :
«Devant l'horreur de l'acte commis, il n'y avait que des femmes pour
voir si haut et si juste.»
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