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« Lyon vandalisée » s’interroge et pose sa triple question : quel était le patrimoine lyonnais il y a deux siècles ? Pourquoi l’a-t-on détruit ? Pourquoi cette conspiration du silence ? Combien de Lyonnais connaissent l’ampleur des désastres infligés à leur ville, depuis deux cents ans ?
Combien savent que Lyon aurait pu rivaliser avec Florence, ou Dresde, ou Saint-Pétersbourg ?
Combien savent les quatre-vingts églises détruites, les cloîtres et les couvents rasés, les milliers de tableaux brûlés, les sculptures, les objets d'art engloutis ?
Qui se souvient du pont du Change, couvert comme le Ponte Vecchio ? Et des tours de la Guillotière, à l’instar du pont Valentré ? Et du château Pierre-Scize, surplombant la Saône où se miraient un peu plus bas les tours de la commanderie Saint-Georges ? Qui évoquera la masse de l'amphithéâtre Saint-Sébastien, donné pour carrière de pierres ? Qui pourra rêver sous les remparts évanouis ? Qui peut imaginer le canal de Perrache et son bassin demi-circulaire, uniquement bâti pour le plaisir des yeux et pour servir de cadre aux futures fêtes nautiques ? Qui peut seulement penser que la presqu'île, sur ses deux kilomètres conquis aux flots, n’était autre qu’une promenade et un parc de plaisance ?