Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Beobachtungen, Erinnerungen und Erzählungen aus einem vom Krieg gezeichneten LandEin Kinderkreis, drum herum laufen zwei Mädchen, am Horizont donnern Kampfjets vorbei, das Spiel heißt »Schwarzes Schaf«, die Zeiten sind Zeiten des Krieges, vor dem die Sprache immer wieder scheitert, stottert. Man setzt immer neu an: Zum Gespräch mit einer Mutter, deren Sohn gerne Peter im »Peter und der Wolf« wäre und am 7. Oktober ermordet wurde, oder mit einem Englischlehrer aus Gaza, der die stumme Frage nach Zeit in den Gesichtern seiner Schüler sieht. Zur Reise nach Jerusalem, um Abschied vom eigenen, im Sterben liegenden Vater zu nehmen, wobei der private, intime Gang zwischen Gesprächen und hinterlassenen Gegenständen zum Blick auf eine Familiengeschichte zwischen Chernowitz, Wien, Jerusalem wird. Ein Blick auf eine Kindheit in einem vom Krieg gezeichneten Land, einem Land, vom Wahn ergriffen, bis zur Unkenntlichkeit verändert.»Man kann die Abschüsse von den Herbstwolken nicht unterscheiden« ist ein essayistisches Mosaik aus Beobachtungen, Erinnerungen und Erzählungen, gegenwärtig, vergangen, zum Teil surreal, das aus intimen, privaten Momenten immer wieder neu ansetzt, um vor der Willkür des Krieges die Suche nach Sprache, nach Erkenntnis, nach zwischenmenschlicher Wahrnehmung nicht aufzugeben.