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Eté 1795, Paris, rue Guénégaud, quartier du Pont-Neuf. Près de dix-huit mois après la mort de Marie Roland sur l'échafaud, place de la Révolution, de l'autre côté de la Seine. Sophie Grandchamp relit le volume des mémoires qu'elle lui vit écrire durant ses mois d'emprisonnement sous la Terreur. Elles avaient été liées brièvement et sur le tard, d'une amitié que Sophie donne pour une passion. On doit à Sophie un portrait, subjectif et parfois amer, qui modifie sensiblement celui des historiens. "Sa" Marie est une femme attachante, intelligente et vive, impatiente des contraintes du quotidien.