
«Histoires sans paroles»
se déroule comme un film muet, qu'on imagine illustré au piano par quelques fantaisies
de Darius Milhaud ou de Francis Poulenc.
L'auteur des dessins, Bernard Duvert, donne vie aux scènes burlesques propres à l'itinéraire pittoresque de Max
Jacob, imprévisible en prise à mille contradictions. Tel est si bien qu'il est facile de suivre Max Jacob depuis sa
jeunesse jusqu'à son martyre à Drancy où il meurt le 5 mars 1944.
Un livre où les images se racontent, une sorte de bande dessinée à l'usage des jeunes comme des plus grands.
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