Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
En la línea de lo ensayado en Ararat (1990) y El iris silvestre (1992), Louise Glück (Nueva York, 1943), Premio Nobel de Literatura 2020, desarrolla en Meadowlands (1996) una larga secuencia de poemas en la que el yo lírico escenifica su peripecia biográfica a la vez que pone en duda la propia construcción de su relato. Mezcla de parodia y lirismo, con referencias al fútbol americano (el título alude a una zona de New Jersey que da nombre al estadio de los New York Giants), a la ópera y a la Odisea, los poemas son al mismo tiempo una muestra de la mejor poesía confesional de la autora y una fina reflexión sobre los personajes del mito homérico. La polifonía de voces de Penélope, Odiseo, Telémaco y Circe se mezclan con las escenas de la vida cotidiana de un matrimonio a punto de derrumbarse ?el de la propia autora? en un barrio residencial de una ciudad estadounidense. Como Penélope, Louise Glück teje y desteje en ellos un collage a medio camino entre lo contemporáneo y lo clásico, lo intemporal y lo cotidiano, lo individual y lo colectivo, lo teatral y lo lírico, para abordar la ambivalencia de los deseos y los temores propios de la separación de una pareja en uno de los libros más profundos y originales de la poesía norteamericana del siglo XX.