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Felipe Sérvulo tomo la papiroflexia como métafora para volar sobre el cielo limpio de la lírica. Este es un poemario de factura sintética, oriental, por momentos zen. Dividido en tres partes, afectiva, neuronal, literariamente complementarias Ayer por la manaña, Tokio es un dragón que canta, Narita terminal I, el poeta compone cincuenta y nueve poemas lacrados con un epílogo (la campana de Myooshin-ji) que son una elegía inequívoca a su nieto Tukumi. El titulo lo toma de la leyenda japonesa que promete cumplir sus deseos a cualesquiera que le arranque al origami esa bandada de pájaros: mitad papel, mitad magia