Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
La poesía de Elsa López encierra, como el mar de Santa Cruz de La Palma, diferente oleaje. A su ritmo, se balancean pecios de antiguos naufragios, gladiolos de inocencia, encendiadas rosas rojas de pasión y ramos de claveles recién cortados. Y la marea los lleva y los trae, los aproxima y los aleja en ese ir y venir constante de la existencia que se percibe en toda su obra, a veces de un modo denotativo, a veces simbólico, pero siempre coronada por la espuma de un lenguaje que persuade más que brilla, que insinúa tanto como dice y que emociona siempre por su secreta naturalidad. Entrar en su obra es como penetrar en un mundo cerrado y, al mismo tiempo, sin fronteras, en el que el mar extiende su dominio ante los ojos que miran entristecidos ese cruzar de barcos por un imaginario horizonte por donde se pierden antiguos recuerdos y del que regresan navíos cargados de esperanza: El barco nos aleja. Apoyada en la espuma veo morirse la isla, el verde y la costumbre de sus viejos balcones. Pero no siempre los ojos de la poeta miran el mar. En otras ocasiones, sus aguas son el ancho espejo en el que se dibuja el paisaje de la "Isla bonita". La visión de La Palma aparece constantemente en su obra como lugar sagrado dentro del cual se van a desarrollar gran parte de las experiencias vitales del sujeto lírico. Sus paisajes de inusitada variedad están poblados de bosques de tilos y eucaliptos, de medianías plataneras, de rutas de lava, de llanuras arcillosas. Y junto a todo ello, acantilados abruptos y mansas calas. Todo salpicado de mangos, tebaidas, dragos , tunos y brezos: ...Y recuerdo el olor. Recordó las tarjeas al borde del cantero, las plataneras, el hinojo y los tunos al filo de la veta, las lágrimas de azúcar comiéndose los higos escondida en los bardos, y el café desgranado dentro de la alacena.