
C'était il y a septante ans, mais la guerre est encore dans la mémoire de tous, et chacun a son histoire à raconter. Celle de Sylvia en est une parmi les autres. Pas de ton larmoyant, ni l'envie d'irriter les consciences revêches. Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les victimes des pays occupés par l'Allemagne ont témoigné à foison par écrit. Or, dans le « mauvais camp », de toutes les victimes dénombrées par milliers, très peu ont pris la plume pour rapporter leurs blessures. Est-ce à dire qu'elles ne s'en donnaient pas le droit ? Par ce livre, Sylvia Pourbaix poursuit le combat de sa grand-mère Helga : celui de dire que, dans les années 30, les Allemands n'étaient pas tous des boches ou des nazis. A Berlin, les Siens s'y trouvaient mais n'avaient de « honteux » qu'être Allemands de l'époque !
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