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Mussolini a marqué son temps. Sur le plan des grands courants de pensée politique, comme sur celui de l’influence directe sur les événements, il se détache du peloton des destins hors-série. Hitler, malgré son orgueil, l’a longtemps reconnu pour son maître, il a été influencé par ses doctrines et le mot fasciste est entré dans le vocabulaire mondial pour étiqueter une certaine forme d’action politique. Il est bien certain, d’autre part, que si Mussolini avait orienté ses alliances dans un autre sens, le cours des événements en aurait été changé ; il a laissé la voie libre à Hitler. En outre, pendant des années, malgré les réactions hostiles, il a imprimé sa marque sur son pays. C’est cette personnalité que ressuscite Georges-Roux. Les dossiers importants sont maintenant sortis des archives, les témoins ont parlé. Le moment était donc venu d’assembler cette documentation dans une grande biographie. Georges-Roux s’est attaché avant tout à faire revivre l’homme sur la toile le fond de son temps. Qui était Mussolini ? Comment vivait-il ? Quelle était sa formation ? De quelle façon gouvernait-il ? La réponse à ces questions explique aussi le destin d’un peuple. La personnalité nous intéresse comme celle de ceux qui ont la responsabilité de millions d’êtres humains. Georges-Roux en suit le développement dans le récit biographique depuis les années difficiles de la jeunesse, la guerre de 1914, les premières luttes comme journaliste et partisan politique. Puis, à partir de la fondation du fascio, l’histoire du Duce se mêle souvent étroitement à celle de son pays. Après la marche sur Rome, et l’organisation des Chemises Noires s’installe le régime fasciste. Pendant vingt ans le Duce va régner sur l’Italie. Presque à chaque page les éléments dramatiques se succèdent. On ne peut, une fois commencés, abandonner les chapitres tant ils nous entrouvrent la réalité la plus passionnante et la plus dramatique, dans le domaine de la vie privée et publique. Georges-Roux nous raconte les événements comme s’il les avait vécus, en reporter doublé d’un historien exigeant et qui a le sens des grands ensembles. Voici les rapports avec l’Allemagne, les hésitations de 40, l’entrée en Albanie, les difficultés intérieures, la séance du Grand Conseil où les chefs fascistes retirent leur confiance à leur chef, l’entrevue avec le roi Victor-Emmanuel, l’arrestation, la délivrance du Gran Sasso par des parachutistes SS, le gouvernement fantôme de l’Italie du Nord, la condamnation et l’exécution de Ciano, la fuite dans un camion sous l’uniforme allemand, l’arrestation par les résistants, les dernières heures, la fusillade de Mussolini et de Clara Petacci sur les bords d’un beau lac italien, l’ignominieuse exposition des corps à Milan... Tous ces faits, racontés comme des scènes de roman, mais d’un roman vécu, appuyé sur des pièces d’archives, prennent une allure shakespearienne. L’historien a su rendre avec une intensité bouleversante le pathétique ; en même temps, il a sans cesse mis en arrière-plan de ce destin qui a connu la gloire et les pires détresses le récit des faits. Nous avons ainsi à la fois la biographie la plus riche en épisodes et l’histoire d’une époque.