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Staub zu Staub, Stirn zu Stern ! 1657 erschien 'Der Cherubinische Wandersmann' von Angelus Silesius (Johannes Scheffler), gnomisch entmystifizierende Mystik: Ein Mensch, der schauet Gott, ein Tier den Erdkloß an, Auf diesem, was er sei, ein jeder kennen kann. Die Ros ist ohn Warum. Sie blühet, weil sie blühet. Sie acht' nicht ihrer selbst, fragt nicht, ob man sie siehet. 'Den Liebhabern des beschaulichen Lebens zur geistigen Ergötzlichkeit herausgegeben' Schefflers 1776 epigrammatisch ´Geistreiche Sinn- und Schlußreime´(1657) haben wir fortzusetzen versucht mit etwa 800 aphoristisch ungereimten ´Sinnsprüchen´ (Dicta acuta). Auch Friedrich von Logaus ´Sinnberichte´(1654) lassen grüßen ... Hier folgt eine neue kleine aphoristische Apologetik (Aphologie) des Monotheismus wider das vollendet 'säkulare Zeitalter' der akademisch und ideologisch munitionierten A(nti)theisten, deren neopositivistische Mythenaufklärung längst ihre eigenen unbeirrbaren Aufklärungsmythen hervorbrachte, die den öffentlichen Ton angeben, wo Europa seit geraumer Zeit schon so gut wie christentumfrei ist...