
Ce recueil composé comme un herbier capture dans la danse délicate du lierre, des fleurs d'abricotier, des fanes de navet, du pourpier craquant et des magnolias, l'évanescence de toute chose. L'esquisse des paysages coréens qui constituent la trame de ces vers, des berges calmes de ruisseaux aux bâtiments laissés vides, transcende le temps, embrassant l'impermanence comme loi universelle. Dans cette ode discrète à l'amour disparu du poète, Do Jong-hwan emporte le lecteur dans une méditation sur la fragilité et la finitude.
Nous publions uniquement les avis qui respectent les conditions requises. Consultez nos conditions pour les avis.