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En septembre 1979, sur les flancs de l’Etna, une catastrophe, qu’il avait prévue, a causé la mort de dix touristes. Tout le monde s’est écrié, comme en 1976 à la Soufrière : « Tazieff avait raison. » Trop tard malheureusement. Avoir raison ne signifie pas toujours être écouté. D’origine russe, né à Varsovie en 1914, ingénieur agronome, ingénieur des mines, ingénieur géologue, sportif, ancien champion de boxe, Haroun Tazieff s’est fait naturaliser français par amour de ce pays, après avoir, entre-temps, obtenu la nationalité belge. Aujourd’hui, il ne cache pas ses inquiétudes devant les « bavures » trop nombreuses de la société française. A un âge où il pourrait « faire valoir ses droits à la retraite », il continue à courir les volcans, à jouer au rugby et à dénoncer les injustices et les mensonges d’un système auquel il ne croit plus. Les conversations qu’il a eues, de 1978 au début de cette année avec Claude Mossé, qu’il connaît depuis vingt ans, lorsque ce dernier effectuait avec lui, pour le compte de la Radio suisse, des reportages sur l’Etna, ne portent pas sur la volcanologie. Ce ne sont pas non plus de vagues réflexions philosophiques ou politiques. Les deux hommes ont discuté sans complaisance ni parti pris de quelques-uns des problèmes concrets qui se posent aujourd’hui à leurs compatriotes. Quelle que soit son opinion personnelle, chacun sera intéressé par les témoignages qu’ils apportent, leurs points de vue, leurs jugements, leurs mises en garde. Il s’agit ici de notre liberté et de notre vie. Cela vaut bien qu’on y prête attention.