
« Lors de mes séjours en Grèce, je ne me lassais pas de photographier, ici et là, les stèles funéraires. Portant au plus vibrant de moi ces représentations toutes de sensibilité et de justesse, à l'évidence soeurs des épigrammes élégiaques relevées à même les tombeaux, voilà quatre décennies que me surprend ce fait que nul, pour l'heure, n'ait songé à rapprocher - jusqu'à les réunir - ces deux versants d'une même méditation sur un aspect central de notre condition - l'Impermanence. Sur ce que celle-ci engendre de tragique, sans pourtant parvenir à compromettre le dialogue entre des êtres qui pour de bon se sont aimés. Quatre décennies que je me dis qu'il serait temps de remédier à la chose. » - J. S.
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