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« Préludes » (1961-1965). Le jeu était — dans les marges d’un très long poème présentement impubliable — de susciter un espace poétique aussi ample que possible, de donner l’illusion de la grande forme, cette fois en quelques vers : quatrains d’hexamètres ou pentamètres iambo anapestiques (1 et 4), quintils de vers de quatorze pieds (2 et 5), sixains d’alexandrins (3 et 6). Propositions de poésie, qui chacune ont besoin, sans doute, d’irradier dans le blanc, de se dissoudre dans le silence de votre lecture, de trouver la résonance de votre espace imaginaire personnel. Chacun de ces brefs poèmes se réfère, par affinité de climat sonore et affectif, à l’un des vingt-quatre tons majeurs et mineurs — en souvenir des Préludes de Bach, Chopin, et, par le nombre du moins, Debussy, Rachmaninov, Chostakovitch, Ohana. Et ils sont structurés en Suites ou Ordres, selon leur mode d’écriture et leur temps de composition — hommage à Couperin. Toutefois, seul le dialogue du Troisième Ordre présente une continuité de sens. Diverses possibilités de lecture : par Ordre (c’est-à-dire par tons voisins), ou selon l’échelle chromatique, ou en liant chaque fois les six poèmes de même tonalité, ou le simple hasard. Si j’ai réussi, chacune de ces associations devrait éveiller entre les poèmes des échos nouveaux, composer de nouvelles figures. Ce ne sont que préludes : à vous, maintenant, de jouer. F.L.