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Cet ouvrage est une étude de la spatialité dans les poésies québécoise et chicana (1960-1985). Au centre de la réflexion, Ariane Audet pose la question suivante: qu’est-ce que le sujet québécois peut apprendre du contact littéraire avec l’écriture poétique chicana?
Inspirée par les théories de Georges Didi-Huberman sur l’intermittence, l’auteure réfléchit aux rapports entre les frontières identitaires, spatiales et poétiques qui produisent de nouvelles figures d’appartenance. Cette approche, au croisement des études littéraires et des études culturelles, donne accès aux modalités énonciatrices du sujet poétique qui questionne son habitation sur et dans l’espace nord-américain, perçu comme lieu d’expression d’une appartenance problématique au continent se traduisant par un mouvement intermittent. Cette intermittence permet l’analyse des mises en tension entre le territoire et le sujet, telles qu’elles sont représentées dans des recueils produits par deux communautés qui ne possèdent pas de relation géographique affirmée entre elles. Ce faisant, l’auteure prouve que l’intermittence demeure l’un des modes de représentation privilégiés des littératures mineures (ou de l’exiguïté). De ce mouvement résultent des similitudes stylistiques, culturelles, historiques, raciales et politiques intéressantes, mais aussi des divergences importantes qui permettent de renouveler la perception de la place du Québec au sein des Amériques.