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Die Arbeit setzt sich kritisch mit der Frage auseinander, ob die Fallgruppe des psychischen Kaufzwanges, die lange vor der Novellierung des UWG 2004 entstanden ist, heute noch als Unterlauterkeitstatbestand bei Wertreklame herangezogen werden kann. Die Verfasserin zeigt anhand einer detaillierten Auswertung der Rechtsprechung und Literatur zu dieser Fallgruppe und unter Zugrundelegung wirtschaftswissenschaftlicher und soziologischer Erkenntnisse zur Wertreklame das Kernproblem des sogenannten Anstandskaufs auf. Weiterhin geht sie der Frage nach, welche Auswirkung es für den psychischen Kaufzwang hat, sich bei der Beurteilung von Wertreklamemaßnahmen heute nicht mehr vom Sachlichkeitsgrundsatz leiten zu lassen, sondern die Rationalität der Verbraucherentscheidung als Beurteilungsmaßstab zugrunde zu legen. Anhand einer ausführlichen Bewertung der Erscheinungsformen des psychischen Kaufzwanges kommt die Verfasserin zu dem Schluss, dass es der Fallgruppe des psychischen Kaufzwanges nach der Novellierung des UWG zur Beurteilung von Verkaufsfördermaßnahmen nicht mehr bedarf.