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Fantasie benennen? Das Wort müsste noch erfunden werden! Brillant geschrieben, wortgewandt, süffiger Stil, gewagte Wortakrobatik. Geld, Blut, Schweiß und Dreck, alles das wird hier höchst delinquent veräußert. Kurz: Man kann sich keinen Leser vorstellen, der hier nicht auf seine Rechnung kommt. Andreas Wieland spielt virtuos und hart am Grat zwischen Trivial- und Weltliteratur mit der Sprache, dem Aberwitz seiner Autorenschaft seines bereits vergriffenen Debütromans, entführt den Leser unter seiner fiktiven Obhut, in irgendeiner Spelunke in der Stadt Buñol auf die Gedankengänge seiner dem Debütroman entsprungen Protagonisten. Man befürchtet schon, den Zusammenhang aus Unkenntnis des Erstlings verspielt zu haben und fragt sich: lohnt sich der Einsatz? Einzig weitergetrieben durch den Schwung, mit welchem A.W. eine verblüffende Gedankenassoziation sich zwanglos in die nächste ergießen lässt, bevor sich dann hinter all dem Lokalkolorit mit den Erinnerungen von Heli Schnitzler ein roter Faden abzuzeichnen beginnt.So möge man denn unbeschadet an das Ende gelangen, wo man sich eingesteht: es hat sich gelohnt. Man möchte mehr und misstraut diesem endgültigen Wort, das die Handlung einfach abschneidet und den nun vollends süchtigen Leser im Stich lässt …